Ballade en pleine nuit.

Andore était sortit de son bureau.Il n'avait plus de papiers a trier et puis rester enfermé dans un bureau il détestait ça.C'était pour lui le plus grand incovenient du poste de Kage.Il fesait a présent nuit.La ville était au loin.De la ou était Andore la ville n'était plus que quelques petits points de lumières.L'air était frais et humide.Cet air la si spécifique à Kiri.Andore marchait lentement.La plaine de Kiri était son endroit péféré.Il aimait s'y promener depuis qu'il était petit.Il se rapellat que quand il était petit il sortait de sa chambre la nuit sans que ses parents ne s'en doute pour aller se promener a cet endroit.Les épaules baignantes dans la brume humide,Andore continuat son chemin jusqu'a un petit cabanon en bois.Il s'arettat et sourit.

*..Alala..Ce bon vieux cabanon.*

Andore décidat d'entrer.La porte cédat sous un bon coup de pied bien placé.Il fut surpris par tant de poussière.Au milieu de la pièce il y avait une table ou était posé une photo.On pouvait y voir Andore petit,sa soeur et son frère.Tout les trois souriant de bonheur.Andore soupirat en souriant.Il se rapellat tant de souvenirs,tant de moments passés ici-même.Jusqu'à ce jour la.Ce jour ou tout avait basculé.Une jeune fille originaire du pays de Taki avait alors débarqué a Kiri.Elle s'apellait Baki.ANdore se souvenait encore de son merveilleurx visage et de ses cheveux violets.Andore était très amoureux de la jeune fille.Mais il n'avait jamais su lui dire.

C'était une belle nuit. Peut-être trop belle... Les étoiles scintillaient doucement et un léger brouillard voletait. J'huma l'air une seconde fois, un sourire au lèvres. Je me mis a esquisser un pas de danse, puis un autre... Une roue... Puis j'entendis une vague respiration. J'avança d'un pas, sans bruits. Tel un félin.J'approchais d'un espèce de cabanon pourri. Je sentais l'herbe sue mes pieds nus, doucement. On ne pouvait ni m'entendre, ni me voir, ni me ressentir et encore moins me sentir. Les armes que je portait ne faisaient aucun bruit et l'écureuil qui m'accompagnait était sur ses gardes. De la bruine commença lentement a tomber pendant que j'avançais en fronçant les sourcils. Je poussa la porte du cabanon, entendant une respiration a l'interieur. Un homme. Je lui sauta sur le dos en hurlant :

~BOUH!

La tête dans mes pensées je n'avais pas le moindre du monde remarqué la présence d'une personne.Tout a coup quelqu'un ou quelque chose me sautat sur le dos en criant "Bouh".Cette voix je la connaissais !Tout en tombamt par terre je regardais dérière moi.Oui.C'étaii bien elle.Baki.La si jolie petite file de mes souvenirs était à présent devenue une magnifique demoiselle.Une fois par terre je me mis sur le dos et je regardat Baki.

Baki...Tu m'a manqué ! Commment te portes tu ?

Je remarquat l'écureuil qui l'accompagnait.Il avait l'air de me regader bizzarement.Je fronçat les sourcils et il se cachat dérière la jambe de Baki.J'était tellement content de la retrouver.Je l'admirer de la tête aux pieds.Elle avait toujours d'aussi beaux cheveux violets reflétants.Ahlala de quoi faire tourner la tête a n'importe quel homme.

Je le ~~regardais~~contemplais. Il me rappelait durement quelqu'un mais je ne sais pas qui... Un sourire eperduement crétin sur le visage. Je détaillais lentement sont visage. ~~( Tel une blonde qui réfléchi )~~Blond... Une lueure jaune s'alluma dans mes yeux.

-Andore...?

Je faisais les yeux ronds. C'était Andore..? Me rancontant que que j'l'écrasais, je me redressa et me leva en frottant mon kimono. ( Je précise, il est exactement pareil sur la photo au niveau des épaules ). Puly monta sur mon épaule, l'air de rien. Et le temps commençait réellement à se rafraîchir...Ça faisait si longtemps... J'eternua et lui tendit la main.

- Excuse-moi, une vieille habitude...~dis-je en souriant~.

Je continuais de l'observer. Un grand sourire rayonnant sur mon visage, et une haleine de celle ou celui qui n'a pas mangé depuis cinqs jours.....

Je souriat.Elle se souvenait de moi.Je ne penserais pas qu'elle se rapellerait de moi pourtant.Me relevant après qu'elle se soit levée je lui souriat encore.Elle me tendit sa main je la serrat.Dans mes pensées jela tint pendant un bon moment.Enfin jusqu'a se qu'elle me demande de la lachée,un peu génée.

Oui c'est bien moi Andore.Le nouveau Mizukage de Kiri.

Aparament elle n'avait pas le moindre du monde remarquée cette pupille qui avait fait de moi le dernier Mizukage de Kiri a ce jour.Mon Rinnegan.Mais ce n'était peut etre pas aussi mal.M'aurait elle reconnut si elle l'avait remarqué ?Bref.Après quelques instants je la regardais toujours d'un air aussi admiratif.

Dis donc tu es devenues une belle jeune femme.Mais je te connais bien tu préfère la bagarre toi.

Je rigola alors affectueusement etje mis mes mains dans mes poches.

Je fronça les sourcils. Approchant son visage de celui d'Andore, je fixa ses pupilles. Je frissonais à vue d'oeil, mais il n'en étais rien. Lui aggripant le col, je lui dit d'un ton sec, mon autre main sur mon épée a double tranchant.

- Alors tu l'as... Le Rinnegan. Tu sais que ceux qui ont foutu le feu a ma maison avaient le Rinnegan...?

Un grognement sourd se faisait entendre, et en moi bouillonait ce sentiment profond de haine et de rage enfouie depuis trop longtemps. Vraiment trop. Ma force était décuplée par la rage et mon oeil droit changea de couleur.
Ce n'était plus le bel oeil violet, mais un oeil jaune ocre remplis de mépris et de méchanceté. Mes cheveux prirent une teinte vert pâle, mais restèrent quand même violet. Je serra ma prise sur le col de Andore, montrant les dents. Puis me ravisant, je l'envoya valser, sans une once de pitié. Je lui lança un regard méprisant, de haut. Je fini par dire, après un long silence, et avec un tic nerveux au sourcil :
- Je ne sais pas ce qui me retiens de t'égorger...
*Pauvre abrutie...*

Je me tourna lentement sur le côté, toujours ce satané tic et de temps en temps, un regard a Andore. J'étais une idiote. Elle avait raison. Elle...? Je soupira intérieurement. Le vent se leva. Je leva les yeux au ciel, regardant les étoiles qui scintillaient doucement. Je ferma les yeux, commençant à "reposer" mon âme.

Andore se fit envoyer dans les airs par Baki. Après être violement tombé par terre, Andore se releva rapidement et fronça les sourcils. Il ne savais pas le moindre du monde de quoi parlais la jeune femme. La tête penchée vers le bas, un filet de sang dégoulinant de ses lèvres le jeune homme sourit. Celui-ci releva la tête et se mordi la lèvre profondément. Son visage prit vite les traits d'un tueur psychopate assoiffé de sang. Andore se rua sur Baki en un rien de temps. Il passa derrière elle sans qu'elle ne s'en aperçoive. Il lui attrapa le coup et l tira en arrière. Baki perdi l'équilibre. Une fois que la jeune femme fut par terre, Andore lui fit lacher son épée avec une clef de bras. Là le visage d'Andore était redevenu normal.

-Baki arrête ! Tu sais très bien que ce n'est pas moi qui ais fait ça ! Je ne te ferais jamais mal de ma vie. Meme si tu veux me tuer. Je me contenterais de t'arrêter.

Andore fesait pression sur le coude de la jeune femme de manière à ce qu'elle ne puisse pas se dégager. Il était triste de savoir a présent que Baki avait perdu ses parents.

-Si j'avais pu t'aider ce jour la...Je l'aurais fait.Même si j'aurais du me sacrifier.

Andore se levat et laissat Baki se relever.